25.11.06

L’arbre de nuages

Il s’élève la nuit droit vers le ciel,
Aussi puissant qu’un blanc éclair
Le seigneur des piliers de l’éternel

Epanouis et éblouis à force de te regarder
Nos bras du véritable amour enlacés
en paix nous sommes pour te montrer
Te rendre grâce celle que tu nous as inspirés

La nuit nous parle la voix de tes feuilles
Epris nos esprits attentifs qu'elle emporte
avec ta gracieuse subtilité cette noble danse
nos coeurs enrobés de ta douce noblesse

Cette nuit tu étais là notre couvert géant
Sous ta coupe protectrice du ciel sentinelle
Architecte des nuages tes feuilles devenues

Arbre cheminée du feu de notre coeur
aux boucles d'oreilles d'etoiles d'ocean
cernant le temps du bois de nos corps

Arbre que le vent ne peut jamais emporter
Arbre des nuages nageant dans la joie
Quel plaisir d’entendre la sagesse de ta voix

16.11.06

Clef de lumière

Dans les abysses du lointain noir de l’espace
Noir de lumière entourée est ma belle étoile
Tes yeux figés regardent tes blanches filles
Sentant en elles ma peur de lever ton voile

De loin tu m’as envoyée la lune millénaire
Trouver en moi la clef des passés mystères
A cheval brillante de toutes les étincelles
d'éclats galopant entourée à mon secours...

Porte généreuse à mon passage ouverte par la
Clef dorée dorant ton jardin de ses rayons...

Boiras tu enfin l'élixir de notre effervescence
de nos âmes belles par notre communion unique
des pétales sucrées de la fleur de la passion ?

Clef incandescente qui gouvernes ce cœur tremble
quand perceras tu le verrous féminin de ce corps
entourée de lumière brillante au rythme de mon coeur

Dis moi dis moi petite et tendre déesse nocturne
quand ferais je danser le charme de ta peau sensible
qui douce telle une chenille fait de moi ton papillon?

Les nuits mes yeux endormis dans le ciel te recherchent
traversant les nuages et les pluies de grises couleurs
attendant que ce jour divin vienne avec le veritable amour
pour lancer mon corps au secours de ce sourire eblouissant

15.11.06

Temps mon enemi

Le temps se dilate , et mon coeur se bat avec son sang
Celui ci veut que tout bascule, que ces frustrations
le menent vers l'ultime et dernier des ses battements

Le temps est ma cage, et comme telle , il y fait froid
quand le temps se fache , le son de ma pensée est là
marteau picqueur de doutes, des craintes et de mes faux pas

Le temps m'a dit un jour que je suis son plus grand esbirre
comme ces legions de minutes legionaires, qui telles fourmies
sur mon dos courir viennent ronger ma colonne vertebrale

La nuit le repos me calme, et les etoiles appaisent ma douleur
elles sont seules mes compagnes , et mes prières exorcellées
ont fait d'elles les complices de ma lutte acharnée contre lui

C'est le temps mon enemi, c'est lui qui fait de cette attente
un eternel et interminable couloir, un coffre et une chambre forte
enfuis dans la glace une nuit qui ne cesse de durer à jamais

La flamme du destin

J'ai vu dans la ville
des yeux cherchant trop loin
sans voir ceux qui les croisent
le sincere reflet de leur lumiere
et la flemme de tous les destins

Sagesse d'esprit

La douceur de la nuit
de mysteres est remplie
d'inmmortels desirs
d'un amour éternel
de cette volonté
de vouloir remplir
ces levres tendres
de l'amour innomé
de la sagesse d'esprit

Le bois qui tue le beton

En ville les murs m'enferment, en silence, les rues me perdent
Ce n'est que dans la nature sauvage que les arbres me menent la
ou le beton se perd...

Belgique sans coeur

Nuages gris bruit et beton
huiles ambiantes et
tristes émotions
Dis moi mere nature
si sans amour je pourrais vivre
dans cette cage froide
dans cette laide prison?

14.11.06

Qu'est ce que la perfection

Qu'est ce que la perfection?
Sinon un parfait mirage
comme une perle un diamant
de leur parfaite imperfection

Que'est ce donc l'imperfection?
Un crayon de fine efilée pointe
parfait par sa belle ecriture
ou imparfait pour de la rayure

Un zebre, un lapin , une jiraffe
rapides pour se cacher sains et saufs
evitant les loups les tigres et lions
courant de leurs terribles crous?

Ou bien une machine ou un automate
parfaits maitres des tous les nombres
qui mis devant nos sombres tombes
ne sauraient pas pleurer par amour?

Non, mais vraiment je me le demande!
Qu'est donc ce que les gens appellent
ce qu'ils sans cesse recherchent
ce que l'on dit par souci: perfection!

Un geste une de tes douces caresses
un regard de tes fins yeux au coton
une grimaçe un sourir de tes levres
un baiser de ta bouche: LA perfection

13.11.06

Bataille du fond de l'ame

C'est mon coeur qui fait bouger mes jambes
oh, et ma tete les fait perdre le chemin!
C'est lui qui exorcice mes ideées trompeuses
oh et aussi il me dirige sans vouloir!

C'est cette pomme rouge tendre et succulente
qui fait facile de moi l'imbecile et pantin
qui souriante me tord telle une marionnette
qui contente de moi a fait son esclave!

Alors vient tout d'un coup ma tete si bien pensante
m'envahir l'esprit avec ces idees bien mijotées
mettre en garde contre l'amour mon ame entiere
Oh mon coeur la sagesse dis lui que tu l'as aussi!

C'est la guerre livrée par mon coeur et cette tête
tous les jours quand je m'egarre dans mon lit
dans ces soupirs qui m'etouffent de fatigue
quand l'un ou l'autre ecouter je dois choisir.

Oh coeur laisse tranquille ma tete
oh tete laisse tranquille mon coeur
laissez pour une fois de vous battre
et faites ensemble enfin mon bonheur...

9.11.06

L'amour des bras



El amor es la unica cura para el mal mundial.
L'amour est la cure de toutes les guerres...

6.11.06

Le temps nous ment

J''aimerais que le temps s'arrete pour que les nuages tombent sur tous les deserts

Le temps nous cache sa fleur de verité

oh que la verité est dure
que les gens se voient
reflechis dans leur miroir

oh que la beauté est laide
quand ceux qui la regardent
se croient plus beaux encore

oh dis moi petit nuage
l'oiseau est il ton image
ou bien mon reve interieur

oh meduse nageant dans la mer
est tu le produit du sel
harponnant son parfum mortel

et si le temps mentait
et que la pluie tombait
sur mes doutes incertains

alors dis moi gentille fleur
si tes petales sont celles
que le soleil aime caresser

1.11.06

Marinero donde vas

Adonde vas marinero
Rujen las olas de alta mar
Espera que vuelva la brisa
Y se calme el vendabal
Adonde vas marinero
¿hueles el aire a libertad?
No vuelvas tan pronto a la costa
Y quedate junto al corral

Riendas del destino

Cuatro son las riendas del jinete
Por cuatro caminos diferentes
Galopa raudo en un universo
de cielo, tierra, mar y estrellas
Dios mueve el mundo circular
Y con él giramos sin cesar
Para afrontar lo más adverso
Y disfrutar de nuestra vida sin tristeza

Rouge etoile de mon coeur

je coupe les bannieres de la liberté
je casse le silence de mon enfance
je mange les entrailles de toutes les tendances
loin d'ou la vie entiére tourne autour du mensonge

y a til encore des gens qui sachent tout dire
et voir en desssous des dras qui cachent le destin
devoiler le sens et les coherences
de cette mer humide qui mouille mon desir

j'ai cherché sans cesse ce que j'avais déja trouvé:
la paix d'un homme riche d'ame liberée

j'ai douté de moi, de tout et de grande partie du rien;
du fils de l'impossible , et du pére de son destin

ai je compris une simple idée derriere moi?
ne serait ce qu'une fable ou un conte sans fin?

ai je vu le ciel et son bruit entre mes yeux?
ou cru en tout cela ce tout mystere pernicieux...

Non je me sens pas capable, ni sincére avec mes mots,
de chercher des animaux là ou s'eteignent tous mes maux
d'aller loin devant sautant toutes ces pierres
sans me laisser couler nageant dans cette riviere.

Soudain je me regarde reflechi dans ces etoiles
mon cerveau debout s'égare , se dissout ,se rend maleable
un noir profond s'etend illuminé par cette lune noire
perles rares de beatué , mais d'ou tenez vous votre âme?

J'ai subi, donné et meurtri mes tâches de beauté mourante
le fil de soie qui me sépare de ces sentiments de honte
se casse quand je le prend dans mes levres rouges et mauves
le cran qui manque pour arriver assis à cette page blanche.

Ciel arcanciel sur un bout de nuage , voyage et laisse moi partir
je suis le soleil qui dicte les regles, air de son et musique
eternelle comme un soupir du volcan qui jaillit jamais ,
pauvre martyre, la pluie de feu de tes cheveux clairs
a donné un dernier souffle à mon coeur immortel.